La « bonne gouvernance » au Rwanda
En encourageant les « dirigeants à rencontrer les dirigés », Juvénal Habyarimana a introduit
depuis longtemps au Rwanda, le principe de « bonne gouvernance ».
Les administrateurs publics sont responsables de leurs actions et de leurs choix politiques
devant la collectivité.
Les services de enseignement à l’intérieur du pays sont dirigés et constitués par des « civils ».
La non utilisation des militaires dans le domaine de la sécurité intérieure au niveau national
explique le niveau de liberté de circulation, d’expression qui régnait et qui a porté à ce que
certains ont appelé les « excès de bonté de Juvénal Habyarimana » lors de l’avènement du
multipartisme.
Ici encore, il n’est pas intellectuellement honnête de constater que ce choix technique des civils
dans les renseignements nationaux a favorisé la liberté de circulation à l’intérieur du pays ainsi
que la liberté d’expression d’une part et d’accuser Juvénal Habyarimana d’être un dictateur
sanguinaire d’autre part.
Dans l’aménagement du territoire, Juvénal Habyarimana a été un protecteur de l’environnement
sérieux et honnête.
Il s’est prodigué pour un développement qui puisse rester en équilibre avec les exigences d’une
nature belle et généreuse comme celle du Rwanda.
Il a favorisé l’utilisation des sources énergétiques alternatives (tourbe, gaz méthane).
Les « bornes fontaines » ont fini augmenté le temps à disposition pour les activités domestiques
suite à la réduction de la distance pour l’approvisionnement en eau potable.